samedi 27 mars 2010

Involontaire négligence

Eh boy, je suis passée à deux doigts de ne pas partager avec vous , mes innexistants lecteurs, mes indispensables découvertes musicales et autres tribulations du genre. Alors voilà, on m'a proposé cet extrait musical que je retransfert ici bas. Bien bon, bien beau.
Flamilijen, en provenance de mon futur pays de résidence, Sueden rules:



Autre partie de ma vie, indispensables à votre connaissance approfondie de ma douce et remarquable personne, la lecture. Iphigénie en haute ville, sinisme, amour qui fini mal et épistolaires échanges entre deux jeunes gens de Québec. À lire ou à découvrir.

Iphigénie en haute ville c'est:

L'histoire que nous nous proposons de raconter dans ces pages est celle d'un couple. En conséquence, elle finira mal. Tout ce long préambule pour que tu te résignes à cette idée, pour que tu ne te sentes pas floué à la fin, que tu ne maudisses pas l'auteur qui, d'ailleurs, est plutôt un chroniqueur servile puisqu'elle est, cette histoire, authentique à 100 %. Toute ressemblance avec des personnes vivantes ou décédées serait dans l'ordre des choses, je le jure sur la Bible, sur le Coran, sur les Védas, sur le bouquin que tu veux. C'est l'histoire d'un couple, donc. Le garçon s'appelle Érostrate, la fille s'appelle Iphigénie. Ça se passe à Québec. 

Paix
R

Gloire au Grog et à la vistoire du rhum sur le rhume...




Béni soit le Grog , d’entre toute les boisson chaudes tu es celle qui m’apportera paix et réconfort. Les yeux brillants, c’est ce que je me disais en écrivant ces lignes.

Escapade de deux jours au royaume du maire Labeaume, quatre degrés centigrades en moins, 250 kilomètres en autobus avec en prime un bel amalgame de bactéries et de virus bien partagés grâce à l’air réutilisé,  c'est tout ce que ça prenait pour que je me retrouve affligée d'un envahissant et percutant rhume du printemps. Quelle chance tu as , vous entend-je penser... Ah, ça oui!


Dans cet état de léthargie et de malaise physique imposé par ma condition de fille enrhumée, m'étant déshabillée trop tôt et ayant joué avec le feu dans ma robe à fleurs, je dois trouver moyen de combattre ce vilain virus. Aux grands maux les grands moyens, joignant l'utile à l'agréable, ma solution pour m'en sortir: le Grog.  Cette chaude et sympathique infusion à base de rhum et de citron saura-t-elle me venir en aide ?

Préparation et composition particulièrement simplettes :  un peu de rhum brun ambré, le jus d'un demi citron, du miel et un peu d'eau que  j'accessoirise d'un bâtonnet de cannelle, ça c’est au goût. Il suffit donc de faire bouillir environ une tasse d’eau, que l’on ajoutera au reste des ingrédients préalablement mélangés dans une petite chope ou une grande tasse.  Le grog fin prets il sera bien de le consommer en étant déjà assis dans son lit. IL faut le boire très chaud selon la tradition orale qui m’a permis de connaître le grog.

Mais en quoi le grog m’aiderait à passer au travers de ce vilain rhume vous vous demandez. Et bien la réponse est simple, l’alcool permet de « brûler » les bactéries et dans l’éventualité que ce ne soit qu’une légende urbaine et bien cela vous procure un minimum de bien être physique et possède des qualités soporifiques. Donc, ça aide simplement à mieux dormir. Mis à part les propriétés déjà bien connues du rhum sur notre système, le Grog en tant que tel est efficace, encore plus lorsqu’il est combiné à la superposition de deux gros pyjamas, de par le fait qu’il vous fera suer comme jamais . Ce qui à comme effet de vous faire expulser ce rhume par vos pores de peau.

Pas très glamour, on s’entend là-dessus, mais très efficace dans mon cas. J’ai dormi comme un bébé lemming, j’ai sué comme  ce mammifère domestiqué omnivore dont le museau se termine par un groin et qu’on élève pour sa chair et son cuir et je me suis retrouvée soignée en quelques jours. Je ne vous dit pas que le Grog soit LA solutions, car le temps sera la principale source qui arrangera les choses, mais le Grog aura au minimum l’effet de le faire paraître moins long.

La morale de cette histoire ? Longue vie aux remèdes grand-mère et habille-toi tite fille quand sur sort jouer pis t’épivarder au grand vent.